La médecine doit répondre aux besoins des patients sans juger de ce qui est superficiel, tabou ou culturellement admis par la majorité. Ces besoins sont en relation directe avec la personnalité individuelle du patient et celle ci doit être prise en compte pour répondre à ces besoins: Nous décrivons: la personnalisation du traitement.
A ce sujet la médecine du 20e siècle a permis un pas de géant dans la gestion des maladies aiguës grâce aux antibiotiques et aux progrès technologiques de l’imagerie et de la médecine interventionnelle.
Le défi du 21e siècle se situe ailleurs avec l’apparition :
La médecine doit prendre en compte cette évolution et satisfaire ces nouveaux besoins.
Le développement des technologies médiatiques a imposé au patient de nouveaux codes de communication faisant appel à l’image et à l’image de soi.
Le développement de la médecine esthétique s’est imposé à la société comme code d’un prolongement de l’hygiène . Longtemps considérée comme vulgaire, puis superficielle la médecine esthétique est aujourd’hui essentielle dans le développement personnel au même titre que l’esthétique d’apparât ( coiffure et maquillage).
L’image comprend également le mouvement et il est indispensable pour que nos patients gardent leur apparence et leur indépendance le plus longtemps possible. C’est le domaine de la médecine nutritionnelle qui va prévenir et ou guérir les troubles liés au vieillissement.
Cancers, Déficits Immunitaires, Rhumatismes chroniques, Psoriasis, Eczéma, Allergies
D’origine multifactorielle ces pathologies ne peuvent pas être appréhender comme les infections ou les urgences. Elles posent des questions beaucoup plus complexes et mettent en jeu toutes les fonctions physio-biochimiques du corps humain, ce qui nécessitent une compréhension globale de la santé et non par organe.
En Conclusion
La médecine doit au patient une prise en charge globale, c’est dans ce sens que le mot holistique doit être compris.