Prendre rendez-vous en ligneDoctolib

Medecine Nutritionnelle & Sport

Surpoids & Obésités

Définition :  

article-2100453-11B7CFC6000005DC-150_468x286

 

 

C’est le rapport:

du poids sur la taille au carré : P/T²

  • IMC < 18 : Maigreur
  • 18 < IMC <25 : Normal
  • 25 < IMC <30 : Surpoids
  • 30 < IMC <35 : Obésité Légère
  • 35 < IMC <40 : Obésité Sévère
  • IMC > 40 : Obésité Morbide

Indice de Masse Corporelle

Deux types d’obésité

  • Androïde : déterminé par le tour de taille
    • Sup. à 102 cm pour les hommes
    • Sup. à 88 cm pour les femmes

Risque Cardio-vasculaire et de diabète important.

  • Gynoïde :

Déterminé par le tour des hanches et son imposante prédominance par rapport au tour abdominal.

Risque circulatoire important.

NUTRITION: Régimes ou Hygiene Alimentaire?  je préfère le second car dans le premier il existe deux notions fausses

      1. Restriction : Le patient pense qu’il est coupable de cette situation et doit donc faire des efforts sur son alimentation considérant que l’alimentation « normale » est celle des autres.
      2. Une limitation de l’alimentation dans le temps, insinuant qu’une fois le poids désiré atteint, il reprendra une alimentation « normale » comme si l’alimentation de tout le monde serait idéale, alors que c’est elle qui est responsable de l’obésité pour laquelle le patient consulte.

Hypocaloriques : établit sur le calcul énergétique de la ration alimentaire (Entrée/Sortie).

Intérêt , régime diversifié.

Inconvénients : lent, perte de 2 kg par mois et induisant un ralentissement énergétique aboutissant à un arrêt de l’amaigrissement à terme.

Diète Hyperprotéinée : prise de sachets hyperprotéinés aux saveurs diverses.

Intérêt : perte de poids importante rapide, bon outil accessoire.

Inconvénients : ne corresponds à aucune alimentation habituelle, que fait-on lors du maintien ? Les reprises de poids sont fréquentes.

Régime Hyperprotéiné naturel : Mon régime

Régimes Hyper protéinés Naturels : arrêt des glucides, limitation des matières grasses et proteines stables ou legerment augmentées.

lebre-nutrition

  • fil Psychologique du patient. La connaissance de ce profil va nous permettre d’adapter le regime alimentaire lié à la physiologie générale à la personnalité du patient.
  • Pour comprendre il faut saisir que le regime est un outil et que le profil psychologique correspond à la lateralité du patient. Un Bon Outil adapté pour un droitier sera de pratique trés délicate par un gaucher et vis et versa .
  • La Neuro nutrition appartient à ce profil de patient et m’aide dans la façon dont je vais conduire mes conseils.

Déterminer ce profil me permettra également de communiquer de manière optimum avec mon patient. Cette communication sera essentielle dans l’étape de l’éducation alimentaire.

l’Education Alimentaire : Essentielle pour la pérennisation d’un équilibre pondéral.

  • Connaissance du patient et de ses faiblesses
  • Formation basale de la physiologie et des aliments
  • Prise de conscience de l’environnement
  • Motivation
  • Notion de plaisir présent à tous les stades du suivi alimentaire
  • Action
  • Aide au maintien

But : Devenir critique, exigeant, c’est à dire Adulte vis à vis de l’alimentation.

Conclusion : Obtenir une action participative du patient auquel la notion de plaisir reste omniprésente.

SPORTS: Pourquoi les Activités sportives sont elles nécessaires?

But : Augmenter la Masse musculaire et le Tonus de chaque muscle: Devenir résistant et beau

Sports aérobies : nécessitent un apport d’oxygène pendant l’effort; développent le système cardio-vasculaire et la capacité respiratoire: natation, cyclisme course à pieds; ces sports éliminent la masse grasse et augmentent la masse musculaire globale.

Sports anaérobies : utilisent l’oxygène disponible, mais aussi d’autre molécules pour fournir l’énergie immédiatement nécessaire; cette musculation crée les formes du corps et sa tonicité.

 Afin d’obtenir le meilleur resultat d’amaigrissement avec le sport, il faut retenir trois règles essentielles.

  1. Pratiquer le sport régulièrement, au moins trois fois par semaine.
  2. Pratiquer un sport ludique, c’est à dire avec lequel le sportif éprouve du plaisir afin de périniser l’activité physique
  3. Pratiquer le sport de façon adapté à sa capacité cardiaque.Il est préférable de privilégier la longueur de l’exercice plutôt que son intensité. Ce mode permet d’utiliser les graisses plutôt que le glucose. (1g de graisse=9 Kcal ; 1g de glucose=4Kcal) nous avons donc un meilleur rendement de perte de la masse grasse.

Astuces: Afin de savoir si votre activité sportive a été optimum:

  • Le sportif doit pouvoir parler avec un ami ou son coach sportif sans être essoufflé pendant l’effort.
  • Le sportif ne doit pas avoir faim après sa séance sportive (sauf si elle termine aux moments des repas).

En conclusion: Les sports dits de fond (aérobies) servent à perdre du gras , et les sport dits toniques servent à augmenter la masse musculaire. Le coach sportif va mettre en place un programme adapté à chacun afin d’optimiser les besoins du patient.

Cellulite

Origine:

  • Génétique
  • Nutritionnelle: sucre=fibrose
  • Hormonale
  • Vasculaire

Nécessité de l’étude d’un score :

  • Hérédité
  • Pathologie Vasculaire
  • Nutrition
  • Psychologie
  • Hormonologie
  • Clinique

Ces six facteurs sont scorés sur une courbe pour permettre un diagnostic précis afin d’établir un traitement adapté aux différentes cellulites qui correspondent aux différentes combinaisons possibles.

Traitement :

 

La Médecine Nutritionnelle et Fonctionnelle et Sportive

La Médecine de la santé…

Aujourd’hui, les maladies dites dégénératives – comme les affections cardiovasculaires, les cancers, les maladies neuro-dégénératives, le syndrome métabolique et le diabète de type 2, les allergies et les maladies auto-immunes – représentent la principale cause de morbidité et de mortalité.

Le paradigme qui a dominé en médecine durant de nombreuses décennies, « Un mal, un remède », était pertinent dans le cadre des maladies infectieuses. Il ne s’applique malheureusement pas aux pathologies dégénératives. En effet, celles-ci découlent de l’intervention d’une multitude de facteurs, tant exogènes qu’endogènes. Elles trouvent leur origine dans l’inadéquation, de plus en plus flagrante, entre l’environnement et notre patrimoine génétique

En conclusion, notre patrimoine génétique est aujourd’hui complètement inadapté à notre mode de vie: aliments hyper raffinés, déficients en micronutriments, hypercaloriques et inactivité physique généralisée. Cette inadéquation représente probablement le berceau de la plupart des maladies.

La médecine fonctionnelle et nutritionnelle, qui ne prétend pas être la panacée universelle, propose d’apporter la garantie que les molécules indispensables au métabolisme du corps lui seront fournies en qualités et quantités optimalisées par rapport à ses besoins (sport).

Notre alimentation comporte trois grandes catégories de molécules ou nutriments.

La première: les protéines, les hydrates de carbone, les lipides et les acides nucléiques. Ce sont les macronutriments, apportent les substrats indispensables à notre métabolisme énergétique et anabolique.

Le deuxième groupe de nutriments se compose d’un ensemble de petites molécules organiques indispensables mais que nos cellules sont incapables de produire à partir de précurseurs : ce sont les vitamines. Ces molécules jouent souvent les rôles essentiels de cofacteurs ou de modulateurs des voies métaboliques de notre organisme.

Le troisième groupe concerne les molécules inorganiques (les oligoéléments), dont la quantité chimique nécessaire est généralement faible mais néanmoins indispensable.

Les deuxième et troisième groupes de molécules représentent les micronutriments.

Pour que notre organisme puisse assurer les différentes fonctions indispensables à notre activité, il faut que l’alimentation apporte ces trois catégories de molécules en quantités et proportions optimales. Outre ces substances, l’alimentation peut également fournir des molécules qui ne sont pas indispensables à notre métabolisme général mais qui apportent certains bénéfices de par leurs fonctions. Une alimentation optimale peut être définie comme une alimentation qui, après digestion et absorption, procure aux cellules la quantité et la diversité des molécules nécessaires à leur fonctionnement optimal.

Loin d’être empirique, elle utilise les connaissances de la physiologie et de la biochimie humaine élémentaire.

Elle devrait être considérée comme une approche de base, indispensable à la gestion de la santé des patients, aussi bien pour les approches préventives et sportives que curatives. La médecine nutritionnelle, loin d’être exclusive, est complémentaire à toutes autres approches médicales. En effet, elle en améliore souvent l’efficacité ou en réduit les effets secondaires.

La mise en évidence, par l’approche nutritionnelle et fonctionnelle, des troubles fonctionnels du tractus gastro-intestinal – comme la mal digestion, la malabsorption, les troubles de la détoxication – permettent la mise en place de corrections nutritionnelles qui restaurent efficacement un état de santé optimal du patient.

La médecine nutritionnelle et fonctionnelle offre aussi des solutions performantes dans la prise en charge de l’excès de masse graisseuse (qu’il s’agisse d’obésité ou de sarcopénie), le contrôle de la résistance à l’insuline et du diabète de type II, et l’inflammation pathologique.

La médecine nutritionnelle et fonctionnelle se préoccupe de l’activité de la mitochondrie, notre centrale productrice d’énergie par excellence et de l’équilibre physiologique entre les divers acides gras essentiels impliqués dans une multitude de processus biologiques déterminants pour l’activité sportive, sans oublier les réactions méthylation (Réactions Biochimiques essentielles) si intimement dépendantes de notre environnement nutritionnel.

La mise en évidence des déficits et excès des nutriments nécessaires à nos cellules est un pré requis indispensable pour une prise en charge responsable. L’excès d’un nutriment réputé indispensable pour la santé peut être délétère. Conscients de la nécessité d’évaluer avec précision et rigueur le statut nutritionnel d’un patient avant toutes corrections, certains laboratoires ont développé des analyses nutritionnelles sophistiquées permettant d’évaluer le profil en acides gras, l’état des défenses anti- oxydantes, les réactions de méthylation, le statut des neuromédiateurs mono-aminergiques, l’état fonctionnel de la muqueuse intestinale, l’intolérance immunitaire à certains aliments, la présence d’une dysbiose intestinale…

Conclusion: La médecine nutritionnelle est à la base des actions préventives et curatives à définir pour obtenir une santé optimale de l’individu